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Prestations familiales
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Please note: Select your subtitle language using the "UT" button in the videoplayer controls.Toutes les familles ont droit aux allocations familiales (Kindergeld), indépendamment de leurs revenus. Elles sont versées pour tout enfant jusqu’à ses 18 ans, jusqu’à ses 21 ans s’il est au chômage, ou, s’il est en formation professionnelle ou universitaire, jusqu’à ses 25 ans.
Ces allocations doivent être demandées par écrit, généralement à la caisse familiale de l’Agence fédérale pour l’Emploi.
Les allocations familiales s’élèvent à 250 euros par mois et par enfant. Sous certaines conditions, cette allocation est aussi versée pour les enfants de nationalité étrangère.
Vous trouverez des informations détaillées sur les différentes prestations et aides sur les sites du ministère fédéral de la Famille et dans le portail « Familienportal ». Utilisez aussi l’outil interactif Infotool du ministère fédéral de la Famille : il vous suffit d’entrer quelques informations pour savoir de quelles prestations familiales vous pouvez bénéficier.
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Please note: Select your subtitle language using the "UT" button in the videoplayer controls.Peuvent bénéficier d’une majoration pour enfants les parents capables d’assurer leur propre subsistance mais dont le revenu ne suffit pas ou ne suffit que tout juste pour satisfaire les besoins de la famille entière. La majoration pour enfants mensuelle correspond au maximum à 292 € par enfant. Elle est versée pour chaque enfant non marié de moins de 25 ans si vous remplissez les conditions suivantes : Vous devez percevoir des allocations familiales pour l’enfant en cause. Votre revenu n’est pas inférieur à un certain seuil de revenu minimum. Celui-ci correspond à 900 € bruts pour les couples et à 600 € bruts pour les parents isolés.
En outre, vous pouvez également bénéficier d’une majoration pour enfants même si la somme de votre revenu d’activité, de la majoration pour enfants et de l’allocation de logement est inférieure de 100 € au maximum aux prestations auxquelles vous avez droit au titre du Livre II du Code social. Seuls 45 % du revenu de vos enfants, par exemple : la pension alimentaire ou l’avance sur pension alimentaire, sont imputés à la majoration pour enfants. Par conséquent, même si vous êtes parent isolé et que vous disposez d’un revenu modeste, il vaut la peine de présenter une demande.
Outre la majoration pour enfants vous pouvez percevoir des prestations d’éducation et de participation, comme par exemple la participation gratuite à un déjeuner en commun à l’école et à la crèche et l’aide financière pour l’achat des fournitures scolaires d’un montant de 195 €.
De plus, les bénéficiaires de la majoration pour enfants ou de l’allocation de logement sont exemptés des frais de crèche. La demande pour obtenir la majoration pour enfants est à adresser par écrit à la Caisse familiale de l’Agence fédérale pour l’emploi. Pour savoir si vous avez droit à la majoration pour enfants, veuillez utiliser l’outil de vérification « KiZ-Lotse » de la Caisse familiale. Vous pouvez aussi consulter l’adresse www.kiz-digital.de pour effectuer vos demandes en ligne.
Vous trouverez de plus amples informations sur les différentes prestations et aides au portail famille du Ministère fédéral de la Famille. Veuillez consulter également le simulateur « Infotool » du Ministère fédéral de la Famille. En saisissant quelques données seulement, il vous permet de savoir à quelles allocations familiales vous êtes éligibles.
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Please note: Select your subtitle language using the "UT" button in the videoplayer controls.Grande nouvelle: Yasmine attend un enfant! La grossesse, la naissance et les premiers mois de Paul sont des moments uniques de leur vie. C’est une période où Yasmine et son enfant doivent être particulièrement protégés. La protection de la maternité préserve la santé de Paul et Yasmine pendant la grossesse et l’allaitement. Elle permet aussi à Yasmine de continuer à travailler avant et après les périodes de protection de la maternité et réglemente la protection contre le licenciement. Ce régime garantit aussi un revenu à Yasmine pendant qu’elle n’est pas autorisée à travailler. Toute étudiante, élève ou volontaire du BFD a droit au régime de protection de la maternité.
Dans les trois premiers mois de grossesse, les femmes enceintes et leur enfant à naître sont exposés à des risques particuliers. Plus Yasmine annoncera sa grossesse à son employeur rapidement, plus celui-ci pourra garantir une protection efficace. L’employeur doit éviter les situations, les substances ou les objets dangereux pour la santé de Yasmine ou de Paul. C’est pourquoi les risques doivent être identifiés préalablement.
Dans un entretien avec son employeur, Yasmine peut veiller à ce que ses conditions de travail soient adaptées pendant sa grossesse. Cet entretien est un droit. Si Yasmine ne peut pas accomplir certaines tâches pour raisons médicales, elle peut obtenir un certificat de son médecin. Avant de prononcer une interdiction d’emploi, l’employeur de Yasmine doit vérifier s’il peut adapter ses conditions de travail pour qu’elles soient conformes à la protection de la maternité. À défaut, Yasmine peut éventuellement continuer à travailler à un autre poste.
L’autorité de contrôle responsable de l’entreprise peut répondre aux questions sur la protection de la maternité. Si les risques pour la santé de Yasmine ou de Paul ne peuvent pas être éliminés par l’employeur, il n’a pas le droit de la faire travailler. L’interdiction d’emploi couvre uniquement ce qui est nécessaire pour préserver la santé de Yasmine et de Paul. Une interdiction d’emploi peut se limiter à certaines activités et à certains horaires de travail.
La période durant laquelle Yasmine ne doit plus travailler débute six semaines avant la date d’accouchement prévue. Cette date est estimée par un médecin, une sage-femme ou un maïeuticien. Si Paul naît plus tôt que prévu, la période de congé de Yasmine se prolonge du nombre de jours dont elle n’a pas bénéficié avant l’accouchement. Comme Yasmine est affiliée à l’assurance-maladie légale, elle bénéficie de l’allocation de maternité et d’un complément patronal. Combinées, ces prestations correspondent normalement à son revenu moyen des trois mois précédant la naissance. Mais si Yasmine le souhaite,elle peut continuer à travailler durant la période de protection avant l’accouchement.
Le congé postnatal dure 8 semaines. Durant cette période, Yasmine ne peut aucun cas travailler. Dans certains cas (p. ex. grossesse multiple et prématurés), le congé dure 12 semaines. Durant cette période aussi, la mère bénéficie de l’allocation de maternité et du complément patronal. Si un enfant naît avec un handicap, le délai de protection peut être prolongé jusqu’à 12 semaines après la naissance, sur demande de la mère. Affiliée à l’assurance maladie légale, Yasmine a droit à l’aide d’une sage-femme. À la fin du congé de protection de la maternité, elle peut bénéficier du revenu parental et du congé parental d’éducation.
À son retour en entreprise, le poste de Yasmine doit aussi être adapté à la protection de la maternité. Si elle allaite Paul, son employeur doit adapter ses conditions de travail pour protéger la santé de Yasmine et de Paul. Si c’est impossible, Yasmine ne peut pas être employee et elle reçoit le salaire garanti en cas de maternité. Jusqu’au premier anniversaire de Paul, Yasmine a droit à des pauses rémunérées pour allaiter Paul. Vous trouverez d’autres informations utiles dans notre guide (Leitfaden zum Mutterschutz).
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Please note: Select your subtitle language using the "UT" button in the videoplayer controls.L’avance sur pension alimentaire (Unterhaltsvorschuss) est prévue lorsque les pensions alimentaires dues à votre enfant ne sont pas versées. Elle est payée au maximum jusqu’aux 18 ans révolus de l’enfant. Elle est de 230 euros par mois pour les enfants jusqu’à 5 ans, et de 301 euros par mois pour les enfants de 6 à 11 ans. Peu importe votre revenu comme parent isolé.
Pour les enfants entre 12 et 17 ans, l’avance sur pensions alimentaires peut être versée si l’enfant n’est pas tributaire de prestations prévues par le Livre II du Code social (SGB II) ou si le parent isolé percevant les aides du SGB II dispose d’un revenu minimum de 600 euros bruts. L’avance sur pension alimentaire s’élève alors à 395 euros.
La demande doit être formulée par écrit, généralement auprès du bureau d’aide à la jeunesse. Sous certaines conditions, les enfants de nationalité étrangère peuvent aussi en bénéficier.
Vous trouverez des informations détaillées sur les différentes prestations et aides sur les sites du ministère fédéral de la Famille et dans le portail « Familienportal ». Utilisez aussi l’outil interactif Infotool du ministère fédéral de la Famille : il vous suffit d’entrer quelques informations pour savoir de quelles prestations familiales vous pouvez bénéficier.
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Pour exonérer fiscalement le minimum vital nécessaire à un enfant, on recourt aux allocations familiales ou à l’abattement fiscal pour enfant à charge (Freibeträge für Kinder). L’abattement fiscal est accordé aux parents, sans conditions, pour tout enfant jusqu’à l’âge de 18 ans. Il est accordé sous certaines conditions, après 18 ans révolus, jusqu’à ses 25 ans, par exemple si votre enfant est en formation professionnelle. En 2024, l’abattement fiscal s’élève à 6 384 euros.
En tant que parent isolé, vous avez droit, dans certaines conditions, à l’intégralité de l’abattement. Il existe également un abattement pour les besoins de garde, d’éducation ou de formation. Il s‘élève à 2 928 euros. Cet abattement est lui aussi réparti à égalité entre les deux parents. Si vous élevez seul(e) un enfant mineur, vous pouvez demander un transfert de la portion d’abattement fiscal revenant à l’autre parent.
C’est le centre des impôts qui décide d’accorder l’abattement fiscal. Lors de l’évaluation fiscale du revenu, le centre des impôts applique le régime fiscal le plus favorable : si le montant des allocations familiales est moins favorable au contribuable que l’abattement fiscal, ce dernier est appliqué à vos revenus en tenant compte des allocations familiales que vous avez déjà perçues.
Vous trouverez des informations détaillées sur les différentes prestations et aides sur les sites du ministère fédéral de la Famille ainsi qu’au portail famille. Veuillez consulter également le simulateur «Infotool» du Ministère fédéral de la Famille. Il vous suffit d’entrer quelques informations pour savoir de quelles prestations familiales vous pouvez bénéficier.
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Please note: Select your subtitle language using the "UT" button in the videoplayer controls.Les parents isolés font l’objet de conditions particulières pour le calcul de l’impôt sur le revenu. Ils sont avantagés par la déduction accordée aux parents isolés. Il s’agit d’une déduction supplémentaire d’un montant de 4.260 euros par an. À partir du deuxième enfant, chaque nouvel enfant ouvre droit à une déduction de revenu de 240 euros supplémentaire. La déduction est appliqué automatiquement au barème d’imposition II, celui des parents isolés.
L’abattement supplémentaire pour nouvel enfant à charge doit être saisi sur demande par le centre des impôts sous forme d’abattement sur la fiche d’imposition (Lohnsteuerkarte) personnelle du contribuable. Si, lors de la retenue au titre de l'impôt sur le salaire, aucun abattement n’est pris en compte, l’allègement fiscal sera réalisé dans le cadre du calcul de l’impôt sur le revenu de travail.
Vous trouverez des informations détaillées sur les différentes prestations et aides sur les sites du ministère fédéral de la Famille ainsi qu’au portail famille.
Veuillez également consulter le simulateur (Infotool) du Ministère fédéral de la Famille. Il vous suffit d’entrer quelques informations pour savoir de quelles prestations familiales vous pouvez bénéficier.